Depuis ses premiers pas dans l’écriture, Ben Herbert Larue, fondateur de la Cie Ô Clair de Plume et du groupe Nouvelle Nocturne, n’a cessé de défendre « l’émotion par les mots », qu’ils soient chantés, murmurés ou déclamés, sur scène ou dans la rue. Il prête son corps et sa voix pour nous offrir avec force ses « mots passants », multipliant les tons et les discours autour d’un imaginaire musical et théâtral qui renvoie sans cesse vers l’ailleurs.

Pour lui, l’auteur est d'abord une oreille, puis un porte-voix. Il transmet ce qui lui est dicté par les mots qui lui viennent, les images qu’il voit et la musique qui le conduit. C’est à travers ce ressenti qu’il écrit, chante, raconte et joue au sein de nombreux projets. Offrant dans chacun de ses spectacles un univers fort et poétique où coexistent des personnages hauts en imaginaire et en verbe : de Luz, l’enfant bulle à Marcus Umbrelli (Cirque Ombrage) en passant par Dentelle Coccinelle. Il nous embarque en voyage à travers les circonvolutions de l’imagination de ces derniers tout en sollicitant celles du spectateur, afin de recréer une magie propre au parcours et aux intuitions personnelles de chacun.

De nombreuses compagnies font appel à sa plume et sa force d’interprétation. Il collabore ainsi avec la Cie Conte Goutte, Mélodie Théâtre, la Fabrique Ephéméride, la Cie du Gaz, la Cie Niaga (danse), Macadame Cie (théâtre de rue), Bob et Hercule (chanson), Cabaret des enfants d’Solo, la Nébuleuse d’Hima (collectif artistique)…

Max découvre la batterie à l'âge de 7 ans, se forme au musiques d'Afrique de l'ouest (Burkina Faso et Mali) depuis 2005.

Actuellement percussionniste et batteur au sein de la troupe de danse afro-contemporaine DonKaDi.

Depuis 2008 le hasard l'a mené jusqu'au rôle de percussionniste-bruiteur- batteur électrisé au sein du spectacle de cirque de la Silembloc Cie.

Passionné de funk et de rock ce jeune bassiste diplômé du conservatoire évolue dans différents groupes tel que Fonky Clak, Tribute to Red Hot ou autres Tribute to Rage Agains the Machine.

Force est de constater une technique qui lui permet de proposer un groove puissant, s’adaptant efficacement aux différents styles abordés par Nouvelle Nocturne.

Fruit du mariage d’un père Ecossais et d’un mère Laponaise, Ludow est baigné par la musique traditionnelle dès son plus jeune âge. Il passera dix années à la Royal Scottish Academy of Art à Edimbourg où il étudie avec ferveur la cornemuse, et obtient le prix spécial du jury à sa sortie en 1992.

En parallèle, il pratique le clairon lors des chasses à cour dans les Highlands, puis à la marine où il passe 6 années dans la fanfare militaire.

Plus récemment, sous l’influence de compositeurs comme André Jolivet (2ème concerto pour trompette en 1954), il s’attaque non sans mal à son nouvel instrument, ainsi qu’au bugle pour des raisons encore aujourd’hui mystérieuses.